YVES LE MONOCHROME

monochrome bleu : IKB

traces & empreintes du corps...

XAVI BOU : 

si les oiseaux laissaient des traces dans le ciel, à quoi ressembleraient-elles ?

Art & IA

La petite danseuse de 14 ans

99 cm de réalisme

Murs, sols, etc

MUTO, B L U

B L U - Blu's fame began in 1999, thanks to a series of illicit graffiti painted in the historical center and suburbs of Bologna, the capital of Italy's Emilia-Romagna region. In the early years of his career his technique was limited to the use of spray paint, the typical medium of graffiti culture. His characteristic style appeared in 2001, however, when Blu started painting with house paint, using rollers mounted on top of telescopic sticks. This new solution allowed him to increase the painted surface area and convey a stronger intensity to his visual vocabulary. Huge human figures, sometimes sarcastic, sometimes dramatic, who looked as if they were borrowed from comics or arcade game world, began appearing along the streets of Bologna around this time. Another aspect that influenced his early career was the practice of a shared artistic action. Artists such as Dem, Sweza, Run and, above all Ericailcane, were his companions during nocturnal raids where an anonymous creative participation overcame the need of signing their pieces. Also, during those years, Blu started experimenting with digital animation and he created short interactive video clips that were used as a visual contribution to the live musical performances of the collective OK NO. The collaboration with Ericailcane had its best results during the period from 2003 to 2006. The two personalities completed each other in a extraordinary composite harmony; while Blu was painting his characteristic human figures Ericailcane made his typical animals. The two artists, friends in real life, continue to work together although with less frequency. Starting in 2004, some art galleries noticed Blu's artistic value and invited him to take part to one-man or collective shows. Yet Blu, throughout his entire youthful career, attempted to limit his presence within the bastions of the official art world, preferring other kinds of territories. Since his major pieces, outside of his videos, have been immovable murals, it seems reasonable to present a geographical rather than chronological survey of Blu's works. Techniques, themes and ethic of Blu: The list of the places where Blu has left his trace is impressively long, as long as his collection of sketchbooks which contain sketches, thoughts or simply visual notes. Often these drawings function as a script for his improvisations on walls. His graphic mania is directly proportional to the epic scale of his murals. His paintings seem to interpret the architectural language of public spaces and reinvent them into new shapes. Thus, his murals are never detached from the places where they were conceived because Blu is a painter in the landscape, urban or industrial. He always tries to communicate with the society which inhabits those spaces, searching for the uniqueness of each place. Besides drawing and painting, the technical universe of Blu is completed by a skillful use of the digital medium. Proof of that can be seen in his website where his manual craftsmanship is combined with computer programming language. The recurring themes of his imagery play on the distortion of the human figure. He speaks a pop vocabulary which resembles the automatic writing process of the surrealist tradition with purely rhetorical processes.[35] In short, his artistic practice has contributed to a radical change in the art market. His murals and his videos are given for free to the public space of the cities and on the world wide web. His income comes from the sale of multiples, like silkscreen prints, in those few galleries which represent him, or through the sale of self-made editions. The works of Blu appear abrupt because they are derived from the free creativity of an artist who has decided to occupy a position outside the sheltered field of art. As magically as they appear they can disappear, sometimes covered by other paintings of Blu himself, sometimes ruined by time and weather, but mostly erased by the authorities in the name of a short-sighted need of tidiness. Blu's aesthetic search is motivated by a belief in an open source philosophy[36], persistent in its anarchical revolt against contemporary art conventions and unique in beauty, and is undoubtedly one of the most interesting in our visual culture. music ----------- Andrea Martignoni produced -------- Mercurio Film assistant: ------ Sibe

ART for change

Au fait, ça sert à quoi l'art ?

... à vous ‎🎶

Perméabilité des images

Peinture & Cinéma

... et un montage ciné-peinture dans la série Blow-Up : 

L'ESPACE ET LA PERCEPTION...

FELICE VARINI

A Musée Vous, A Musée Moi

Au travers de sketchs loufoques et décalés, des personnages de toiles de maîtres – aux décors et costumes scrupuleusement reconstitués – s'animent. Sur des dialogues de Fabrice Maruca, l'histoire, truffée d’anecdotes, de ces œuvres emblématiques. 

> à voir sur ARTE <

ac@rt2019

Festival de la jeune photographie européenne

The Splitting of the Chrysalis & the Slow Unfolding of the Wings © Yorgos Yatromanolakis

Mercredi c'est le 8 mai, c'est férié !!! Youpi !
Profitez-en pour faire des photos franchouillardes...

... Ou alors, allez voir des photos européennes !!!! Par de jeunes photographes européens.

Non dite che siamo pochi (Do not say we are few) © Umberto Coa

http://www.104.fr/fiche-evenement/circulations-2019.html

OÙ ÇA ???

Au 104, (c'est juste à côté)
Le CENTQUATRE-PARIS 5 rue Curial - 75019 Paris

ALLEZ-Y, C'EST GRATUIT !

 

Notre Dame

15 avril 2019

Dossier complet sur la Cathédrale

Cacher pour MIEUX révéler !

CHRISTO 

& 

JEANNE-CLAUDE

Ça a été ça :

en 1985

Le Pont neuf emballé

Et ce sera ça :

du 6 au 19 avril 2020

L'Arc de Triomphe emballé

Pour en savoir plus sur ce couple d'artistes,

ci-dessous, présentation réalisée par Hortense, une élève de TL-Arts :

AGNES VARDA

La cinéaste Agnès Varda est morte à l'âge de 90 ans.

Une cinéaste majeure, précurseure.


Elle était aussi plasticienne et avait exposé des installations, "Les plages d'Agnès", à la Fondation Cartier en 2006.

Elle avait fait un film avec JR en 2017. "Visages Villages", qui mêle le regard d'Agnès Varda aux photographies géantes de JR.

http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19571435&cfilm=245617.html

À voir absolument, en replay sur Arte :
"Sans toit ni loi", film de 1985 avec Sandrine Bonnaire
https://www.arte.tv/fr/videos/025849-000-A/sans-toit-ni-loi/

la leçon de cinéma :
https://www.arte.tv/fr/videos/081908-011-A/lecon-de-cinema-avec-agnes-varda/

et les causeries d'Agnès Varda :
https://www.arte.tv/fr/videos/083976-001-A/varda-par-agnes-1re-causerie/

La Grande Lessive

Jeudi 28/03/2019
C'est La Grande Lessive 

au lycée Colbert

L’invitation adressée à toutes et tous est :

« De la couleur ! »

Avec ou sans dessin,

de la lumière, des pigments, du numérique…

La Grande Lessive

Piratage muséal

Invasion virtuelle au musée

Piratage en réalité augmentée

le MoMA

présente 

le MoMAR

On accède au MoMAR en téléchargeant l’application MoMAR Gallery sur son smartphone. 

Une fois sur l’application dans la salle des Jackson Pollock du MOMA, on voit sur son smartphone des œuvres virtuelles venir se superposer sur celles du maître de l’expressionnisme abstrait.
La première exposition du MoMAR s’intitule Hello, we’re from the internet (2 mars - 10 mai 2018). Elle rassemble les œuvres de huit artistes qui se superposent sur sept toiles de la salle.

Le Centre Pompidou

présente

Recycle Group

L’équivalent parisien du MoMAR est inauguré en mai 2018 dans les collections du Centre Pompidou à Paris. Il est à l’initiative du collectif d’artistes Recycle Group et s’intitule They were lying to you, everything is different (Ils vous mentaient, tout est différent).

Article ICI

TOMI UNGERER

Vous l'avez peut-être lu dans votre enfance ?

L'artiste illustrateur, affichiste Tomi Ungerer vient de mourir à 87 ans. 

Il était l'un des plus grands dessinateurs et auteurs de jeunesse en France. Il a, avec Les Trois Brigands (1961) ou Jean de la Lune (1966), ses albums publiés à l'École des Loisirs, marqué plus d'une génération d'enfants. C'est cette littérature jeunesse qui l'a fait connaître dans le monde entier.

Mais il était également un artiste engagé, notamment contre la guerre au Viet-Nam ou pour défendre les droits civiques américains.

"Je ne me serais pas battu contre le racisme et les préjugés si je n'en avais pas été imprégné toute mon enfance"

Né en 1931 à Strasbourg, orphelin de père à 3 ans, il a 8 ans quand la seconde guerre mondiale éclate. Après la guerre, il sera très impliqué dans la réconciliation entre la France et l'Allemagne.

Artiste insolent, il dessine aussi des albums pour adultes. 

Bordalo II

Le street artist – et activiste écolo – Bordalo II redonne vie aux animaux en recyclant ce qui les tue : le plastique. 

Du 26 janvier au 2 mars, il expose ses sculptures colorées à Paris.

On distingue dans ses œuvres des morceaux de jouets, de pare-chocs de voiture, des cordes, mais surtout des fragments de plastique qui se retrouvent, on le sait maintenant, dans les estomacs de tant d’animaux (100% des tortues sont contaminées au plastique, a révélé une récente étude de l’Université d’Exeter). Un chimpanzé, un lémurien, un tigre, un lion, un zèbre… Ses animaux sauvages sont menacés par la pollution et la mondialisation, et parfois même en voie d'extinction.

 

À lire :

https://usbeketrica.com/article/exposition-strret-artist-bordalo-dechets-animaux

Joana Vasconcelos au Bon Marché

Joana Vasconcelos 

Branco Luz (White Light)
est le titre de l'exposition dans laquelle l'artiste présente Simone, 
une nouvelle pièce de la série Valkyries 
conçue autour les escaliers mécaniques du Bon Marché.

"Composée de différentes nuances de blanc, de détails argentés et de lumières colorées, Simoneassocie diverses techniques artisanales dans son corps en textile de 30 mètres de long qui enveloppe les escaliers mécaniques et s'étend dans l’atrium. Une deuxième installation investit les vitrines et invite les visiteurs à entrer. Son nom, « Simone », a un rapport avec le côté guerrier de la femme incarné par deux personnalités françaises qui ont marqué l’histoire par leurs militantismes respectifs : Simone de Beauvoir et Simone Weil. Mais elle rend surtout hommage à toutes les femmes d’aujourd’hui !" IN

Entretien avec l'artiste

A Noiva [The Bride], 2001-2005

plus d'infos…

Pablo Valbuena au 104

"SI LE TEMPS EST UN LIEU"

Pablo Valbuena 

expose au 104 

jusqu'au 24/03/19

Sculptures éphémères et immersives, les œuvres de Pablo Valbuena soulignent l'architecture du lieu qui les accueille tout en la prolongeant. À l'aide d'éléments simples - lignes, points, notes, formes géométriques - et d'outils techniques d'une grande précision, l'artiste modèle le son, la lumière et le mouvement pour suggérer au visiteur une architecture parallèle. Un espace augmenté en perpétuelle transformation où la frontière entre le réel et le perçu s'efface au profit de l'imaginaire.

EMERGING LINES

Vendredi 11 janvier s'est tenu à la galerie du Crous, le vernissage d'une exposition réunissant les travaux d'élèves d'écoles d'art européennes :

École nationale supérieure des Beaux Arts de Paris et de Cergy, Studierendenwerk de Berlin, Academy of fine Arts in Wroclaw (Pologne), Art Academy of Latvia.
Cette exposition a pour but de promouvoir les échanges entre étudiants des écoles d'arts de différents pays d'Europe ainsi que de rendre visible le travail de jeunes artistes émergents... mais aussi d'établir des passerelles entre le monde de l'art, les étudiants des écoles d'arts et ceux qui, encore lycéens, s'orientent dans cette voie...

Darta Lote Berzina

Zoé Thonet

Et les élèves de Colbert y étaient !!!
(avant des se rendre aux portes ouvertes des écoles d'art, voir article précédent)